Je retourne au travail...momentanément
Lundi matin, après un weekend rempli d'amour, je dois me rendre chez le notaire pour le partage dans le cadre de mon divorce. Yipieeee 😖...autant dire, la concentration fût compliquée, car j'attendais aussi ma feuille de route avec tous mes rdv d'examens pour les 2 semaines à venir....important document afin que je puisse m'organiser et planifier. Une petite voix dans mon esprit qui me répétait "Maintenant, vous devez penser à vous, madame"...et bien ce ne sera pas pour aujourd'hui, ni demain, ni jusqu'au 11 mars, date à laquelle j'ai rdv chez la chirurgienne pour les résultats. Juste impossible de penser à moi...je dirais même que je n'ai jamais "appris". L'après-midi, je décide de rester en télétravail. Suite aux conseils de ma collègue-amie, je contacte certains collègues qui pourraient m'aider à voir plus clair par rapport à une absence de longue durée. J'ai du mal à me rendre compte que je puisse être absente longtemps et surtout pour une maladie dont je ne ressens rien, un maladie qui ne rend pas malade, mais dont les soins rendent malade...inimaginable d'accepter cela! JE VAIS BIEN.
Mes collègues, mon boss inclus, sont supers et d'une bienveillance incroyable. Pour eux, cela fait deux annonces d'un coup, à 2 mois d'intervalles. Ma collègue-amie s'est fait opérée en janvier et se trouve un peu plus loin dans ses soins...néanmoins, je sais pertinemment bien que je la "rattraperai" bien trop vite.
Entre-temps, la feuille de route m'est parvenue avec tous les examens à effectuer jusqu'au 11 mars.
Merci, chers collègues, pour votre aide précieuse. Vous êtes mon arc-en-ciel aujourd'hui.
Je décide de travailler jusqu'au 11 mars minimum. Au premier rdv, le 18 février, la chirurgienne souhaitait déjà me mettre en congé maladie. Catégoriquement, je lui ai dit « NON ». Juste impossible, qu'en quelques heures, je doive prendre cette décision, alors que la nouvelle ne m'a pas encore percuté.
Ce soir, mon frérot (et oui encore lui 😘) m'emmène voir les parents pour leur annoncer.